Marielle, les militants du MoDem Paris se souviennent

marielle divers

A la suite de la disparition de Marielle de SARNEZ, première présidente du MoDem Paris, les militants du MoDem Paris se souviennent. 

MARIELLE

avec Marielle
nous avons combattu
portes-drapeaux des temps à venir
arpenté les trottoirs
distribué moult tracts
et la parole militante
que la Paix soit
de l’Atlantique à l’Oural
liberté et fraternité
pour ton courage
ta fidélité exemplaire
tes convictions sans faille
elles furent nôtres
sois remerciée.

Françoise

traitorange

"Militant de notre formation centriste depuis 1974 et élu pour la 1ère  fois dans le 14ème en 1983 j'ai eu la chance de  rencontrer Marielle de Sarnez vers 1999 à l'occasion d'une première campagne électorale avec elle. Oui c'était une véritable chance de l'accompagner dans ses actions pour les campagnes Présidentielles, Législatives ou Municipales pendant plus de 20 ans !

Pour beaucoup, une campagne électorale n'est pas une partie de plaisir, mais avec elle c'était différent avec sa volonté de convaincre avec le sourire, son désir de bien faire, elle entraînait ses colistiers avec passion et rigueur. Nous déambulions dans les rues, rentrions dans les boutiques du 14ème sans problème....ou presque. Marielle était une bonne école pour les futurs élus avec un mélange d'enthousiasme et de simplicité.

Marielle savait aussi adapter sa démarche avec ses interlocuteurs sans accepter de compromissions. Elle était à l'écoute des demandes et intervenait souvent pour améliorer les situations. Marielle était profondément fidèle en amitiés, merci Marielle."

Yves       

traitorange

"Marielle c'était des convictions et du caractère mais avant tout une force de chaque instant. Elle était l'ADN de notre mouvement. Nous lui devons énormément, je lui dois l'essentiel de mon engagement. Si Marielle m'a vu grandir au sens propre, elle a aussi fait grandir toute une génération en répondant toujours présente aux sollicitations du mouvement jeune. Elle nous manquera, elle me manquera terriblement. Pour elle, pour ses combats plus que jamais justes, nous poursuivrons sans relâche le chemin tracé. Je n'oublierai aucun de nos instants partagés tout au long de ces années, ils sont précieux. Merci Marielle."

Jonathan

trait

"Très jeune, j’ai connu Marielle, l’amie de mes parents. Adolescent, j’ai regardé, j’ai écouté Marielle, en silence.
Fasciné souvent par la force de son action, par son exigence de vérité, son besoin viscéral de défendre inlassablement ses convictions. Cette ferveur a sans doute été à l’origine de mon engagement."

Godefroy

traitorange

"Pour la 1ère fois de ma vie, il y a 13 ans je m’engageais en politique. Tout commença au Zénith le 24 Mai 2007 parmi 6000 personnes assistant à la naissance d’un mouvement qui faisait écho en moi…Je remarquai à la tribune une « nana » enthousiasmée, enthousiasmante : Marielle. J’allais vite découvrir son parcours, les qualités de cette femme puis dès lors engranger plein de souvenirs.

Je reçus ma carte d’adhérente le 11 sept 2007 et voulu vite participer à mon niveau à ce formidable élan initié et mené de main de maitre par LA militante / phare du Modem. Auprès de Marielle nous allions repeindre Paris en orange ! A pied ou à vélo comme ce parcours depuis la Mairie du 14ème. Elle pédalait vite, pour nous entrainer jusqu’à la passerelle Simone de Beauvoir où d’innombrables militants colistiers pour les municipales 2008 l’attendaient dans un froid glacial. Je fis d’elle des portraits, tellement radieuse ! 2 jours plus tard le 5 février toujours meneuse, elle animait avec brio la présentation de ses 20 têtes de liste « Une ville plus humaine » sur la scène de Japy. Ce soir-là on me proposa de figurer sur la liste du 19ème. Marielle se maintenant au second tour, j’eus très envie de participer à sa victoire. Convaincante, Marielle nous aidait convaincre. Yves Ogé lui demanda si je pouvais officiellement rejoindre l’équipe du 14ème. Ce fut un tourbillon de tractages, de réunions au siège, de débats… J’adorais « faire le trottoir » en tractant pleine d’espoir pour la victoire de Marielle !  Je me souviens une fois Place d’Alésia, ayant repéré un militant « Jocelyne, va lui dire comment tenir les tracts et les distribuer ».  Elle souriait quand, au carrefour Plaisance, je dirigeai d’un signe des habitants -après leur avoir donné un tract - vers la table d’une brasserie où elle s’était assise pour discuter d’un dossier « T’es incroyable toi !" Elle avait l’œil partout ; sans forcément faire de réflexion elle s’avançait bienveillante vers l’un ou l’autre militant, vers un parisien qui semblait vouloir lui parler. Elle avait un flair incroyable et sa façon d’avoir toujours un coup d’œil rapide sur les côtés tout en discutant pouvait laisser penser qu’elle n’avait rien à faire de votre échange. 

Alors qu’elle était en repérage constant… tout en étant présente.

Je fus très heureuse d’être assesseur suppléante dans son bureau de vote en mars 2008 !  D’autant qu’elle fut élue à la Mairie du 14ème…  Bien que dans l’opposition elle y était très appréciée pour ses échanges ni agressifs ni de parti pris. (Je fus fière d’être ensuite assesseur titulaire dans son bureau de vote lors des Régionales en mars 2010.) 

Son élégance naturelle malgré ses sempiternels jeans, petits chaussons de danse ou tennis m’avaient permis d’aller vers elle plus facilement car elle me semblait du coup abordable. Un jour au Marché Daguerre après nous avoir invités dans un resto grec, il pleuvait ; elle a alors sorti un petit chapeau de pêcheur en toile vert sans se préoccuper de son look. Sans doute son côté solaire anéantissait toute critique vestimentaire à son égard…Sans doute, cela s’appelle-t-il le charisme.  Oui elle était « sans chichis », décontractée : sur la Place de l’Hôtel de Ville pour la libération d’Ingrid Bétancourt, elle avait besoin de noter quelque chose ; nous étions debout « Jocelyne, baisse-toi je vais noter quelque chose » et mon dos lui a servi de support. 

Beaucoup de souvenirs…d’autres ensuite après les années orange : des meetings, des réunions, deux visites au Parlement européen, des campagnes... Pas assez de place ici pour tout raconter ; il y a aussi des souvenirs plus personnels que je conserve précieusement.  Les derniers beaux souvenirs près de Marielle : le 18 juin 2017

Autant de souvenirs que je soupçonnais de devenir marquants ; alors je suis heureuse de les avoir photographiés pour fixer un peu plus ces moments. Les partager aussi avec des militants devenus amis. Je souhaite dans ces beaux souvenirs y associer la fidèle des fidèles assistantes qui a beaucoup œuvré en coulisses, pratiquement toujours présente pour et avec nous : Maud. Aujourd’hui elle va honorer Marielle en tant que députée et poursuivre son travail en pensant à toutes ces années…

Son énergie était si incroyable, qu’aujourd’hui après son envol, nous la ressentons encore … Marielle, nous allons continuer sans toi, mais pourtant avec toi car tu nous accompagnes toujours."

Jocelyne

traitorange

"Pendant longtemps, je n'ai pas su qui était Marielle de Sarnez. J'étais adhérent du CDS (Centre des Démocrates Sociaux), Marielle était chez les RI (Républicains Indépendants). Plus tard, à l'UDF, lors des grands rassemblements, Marielle ne prenait pas la parole mais on ne voyait qu'elle, toujours active.
En 2001, une militante du 14e arrondissement de Paris (Colette) m'a dit : "Mais c'est Marielle !".
2003 : visite (organisée par Maud) du Parlement européen à Bruxelles, en présence de Marielle.
En mai/juin 2007, première élection législative pour Marielle.
Municipales de 2008 : Marielle, tête de liste MoDem dans le 14e. Elle voulait des campagnes joyeuses.
2007, 2008 : les plus belles de "mes" campagnes", avec Yves et tant d'autres. Merci à tous ceux et à toutes celles (je pense à Jocelyne) qui ont pris des photos au cours de ces deux campagnes. Nous avons parcouru le 14e, parlé librement, organisé des "pieds d'immeuble", dans tous les quartiers du 14e : Marielle y tenait, c'était une excellente idée (à laquelle on ne croyait pas au départ).
Un autre souvenir : les Conseils d'arrondissement du 14e. Quand Marielle intervenait, tout le monde l'écoutait. Tout devenait compréhensible, limpide.
Marielle : une femme intelligente, indépendante, charismatique, fidèle dans ses choix politiques. Belle, chaleureuse. Elle avait tout pour elle.
Et puis ce fameux 18 juin 2017, avenue du Général Leclerc, dans le 14e arrondissement. La victoire ! Marielle, Maud, arrivant ensemble. Un souvenir inoubliable. Merci, Marielle !"

Jean-Louis

traitorange

"Marielle, c’était une présence qui s’imposait naturellement. Son autorité, sa capacité à être attentive et bienveillante envers chacun, son sens du détail et son exigence nous obligeaient à donner le meilleur de nous-mêmes. Elle portait en elle ce devoir de partage pour nous mener vers l’excellence. J’ai le souvenir de cette incroyable campagne présidentielle de 2007 où Marielle veillait à tout. Lorsqu’elle arrivait sur le plateau, véritable noyau de la campagne où régnaient un bourdonnement et une activité intense, le silence se faisait instantanément. Elle était là , vérifiant avec attention et écoute que tout se déroulait correctement quitte à recommencer un travail, une opération parce qu’elle n’était pas parfaite à ses yeux. Et puis, son regard bleu intense, son sourire, ses longues mains en perpétuel mouvement étaient autant de signes qui donnaient envie de la suivre, indéfectiblement car elle était rassurante dans sa solidité.
Elle restera pour moi, ce modèle qui a ouvert la voie des femmes en politique, une voie légitime, sans complexe qui s’est imposée dans ce milieu masculin avec élégance et détermination."

Béatrice

traitorange

"Tout en contemplant la variété des paysages et l’harmonie des vieux villages franciliens, Marielle nous mena, en futurs vainqueurs, jusqu’à la maison de Jean Monnet. Elle y était chez elle et sa réélection au Parlement européen quelques semaines plus tard en 2014, ne faisait, pour nous autres candidats, aucun doute. Le « mieux d’Europe » est une maxime qu’elle aura défendue avec passion et détermination. Marielle occupait l’espace, ou plutôt, les espaces, petits ou grands, proches ou lointains, avec élégance et efficacité. Elle voyageait toujours léger, paraît-il, et partageait volontiers ses impressions avec ceux ou celles qui aimaient comme elle l’ouverture sur le monde. Aux municipales 2014, après avoir parcouru d’un pas léger et rapide le marché de la rue d’Aligre pour atteindre la place du même nom, il ne restait plus aux candidats que nous étions derrière elle, qu’à convaincre les électeurs les plus récalcitrants. Centriste de foi et de combat, elle se devait d’être réélue au Conseil de Paris.
En 2017, au bout de la rue Daguerre, bien qu’étant militante dans une autre circonscription parisienne, je m’échappais de temps en temps pour accompagner et soutenir Marielle, candidate députée, et sa suppléante Maud. Par solidarité, mais aussi par amitié pour deux femmes fortes et courageuses."

Ingrid

traitorange

"Militant (CDS puis UDF puis Modem) du 14ème arrondissement de Paris depuis plus de 20 ans je me présentais souvent comme le colleur d'affiches de Marielle pour son arrondissement. J'ai connu Marielle grâce à Yves Ogé à la fin des années 1990. Municipales, législatives et bien sûr la présidentielle de 2007, que de souvenirs de campagne avec Marielle puis Maud.

Je garderai toujours au sujet de Marielle son engagement européen de patriote (l'amour des siens). Marielle nous fit visiter aussi le parlement européen à Bruxelles en 2003.

Ici dans le 14ème, à la demande de l'Association des parents d'élèves du Collège Jean-Moulin, elle est intervenue avec succès auprès du Recteur d'Académie de Paris en 2017 pour rétablir la classe bi-langue Allemand qui avait été supprimée par l'ancien gouvernement. Nous l'avons a nouveau sollicitée en 2018 pour maintenir la section Euro Allemand dans le Collège Jean-Moulin, là encore avec succès.

Mon plus beau souvenir : le 18 juin 2017 et la joie de la victoire après tant d'années de lutte, en plus avec mon fils Mathurin.

Bon vent et bonne mer Marielle."

Franck

traitorange

"Marielle de Sarnez m'évoque une sorte d'idéal féminin, ou tout simplement, humain, ayant mené sa vie comme elle l'entendait, attachée fermement à quelques valeurs fondamentales. Cela me frappe d'autant plus que je suis en train de relire son très beau livre "Féminin singulier : Journal", paru en 2008.

Ses combats sont plus que jamais d'actualité. Sa clairvoyance sur les grands sujets sociétaux est impressionnante.

Je crois l'avoir presque toujours croisée ou aperçue en tandem avec François Bayrou, notamment lors des toujours passionnantes universités d'été ou de rentrée, des congrès ou autres événements du Modem. Cela dit, je me souviens l'avoir abordée directement lors de la signature de "Féminin singulier" dans une librairie du 14ème arrondissement dans laquelle elle m'a dédicacé son livre.

Pendant ce moment, nous avons alors échangé quelques mots au sujet des élections municipales de 2008. Grande, élégante, singulière, intelligente, clairvoyante, concise et précise sont quelques adjectifs qui me viennent pour la décrire trop succinctement.

La dernière image radieuse que je souhaite garder d'elle, c'est lors d'une visite au Parlement de Strasbourg avec un groupe du Modem lorsqu'elle est venue si gentiment nous dire bonjour, lors du repas. Si je ne devais retenir qu'un seul mot pour définir Marielle, je dirai "Europe".

"Tout ce qui est nôtre s'efface,
Tout ce qui est nôtre demeure."
Andrée Chedid, In : Terre des présages

Catherine

traitorange

"Dès mon arrivée au MoDem - c’était à l’occasion d’un réunion publique organisée au zénith en mai 2007, au lendemain de cette élection présidentielle qui avait suscité tant d’espoirs - j’ai compris la place éminente qu’allait occuper Marielle de Sarnez dans le mouvement.
Parmi toutes les personnalités que je ne connaissais encore que de loin, deux m’ont rapidement fait forte impression par la qualité de leurs interventions : Jean-Louis Bourlanges et Marielle de Sarnez.
C’est donc avec enthousiasme que j’ai pris part à la campagne en vue des municipales de 2008.
Je garde encore en mémoire cette déambulation de novembre 2007 à la rencontre des habitants du 13ème arrondissement. Notre candidate à la Mairie avait su montrer une réelle empathie à l’égard de ses interlocuteurs et avait révélé une connaissance approfondie des dossiers parisiens et plus singulièrement de ceux de notre 13ème arrondissement qui n’était pas le sien. Alors que les journalistes présents cherchaient à lui arracher des commentaires politiciens, elle a toujours recentré le débat sur les problèmes parisiens.

Cette campagne avait aussi donné lieu à un rassemblement à vélo -Hidalgo circulait alors encore en voiture de fonction - de tous les candidats de nos listes MoDem, sur la passerelle Simone de Beauvoir (près de la BNF). Ce fut un beau moment de communion autour de notre candidate. Tout comme ce meeting de la mutualité, juste avant le premier tour : les « Marielle pour Paris » que nous avait fait entonner Philippe Meyer résonnent encore dans mes oreilles, et je l’avoue, j’ai gardé la pancarte orange frappée du nom de notre candidate que je brandissais ce soir-là, espérant qu’elle puisse resservir.

Marielle, c’est aussi "la grande Européenne", et je suis fier d’avoir mené deux campagnes européennes à ses côtés en 2009 et 2014 : envoyer une telle personnalité au Parlement de Strasbourg, c’était servir réellement les intérêts de la cause européenne. Je conserve d’ailleurs précieusement son « Petit dictionnaire pour aimer l’Europe » qu’elle avait offert et dédicacé aux militants en fin de campagne (c’est à ce type de petit geste qu’on reconnaît les grands dirigeants).

La victoire de juin 2017 dans la 11ème circonscription de Paris fut un autre grand moment : notre capitale avait enfin sa députée MoDem.

Ajoutons encore que, tant dans ses fonctions électives qu’à l’intérieur du Mouvement, Marielle de Sarnez a su s’entourer d’une équipe de qualité qui, n’en doutons pas - Maud en tête – saura reprendre le flambeau."

Karel

traitorange

"Il est des personnes qui ne meurent pas. Marielle fait partie de celles-là. Lui rendre cet hommage parce qu’elle n’est plus est une souffrance autant qu’un besoin empreint de reconnaissance, de respect, d’admiration et d’une amitié des plus sincères. Reconnaissance pour tout ce que l’on lui doit, au sein de notre mouvement, pour toutes ces grandes questions qu’elle a tant fait avancer en France, au sein de l’Europe et au-delà, forte de ses inébranlables idéaux centristes et humanistes. Respect pour ce qu’elle inspirait, pour son élégance de tout instant, maîtrisant mieux qui quiconque le savoir-être, le savoir-faire et le savoir-dire, dans sa posture de femme politique responsable, engagée, courageuse et si rassembleuse. La pluie d’hommages qui a suivi sa disparition témoigne du respect de la plupart, face à cet alignement si rare en politique. Admiration parce que sortir indemne de ces rudes combats qui ont ponctué la vie politique française, pour défendre nos couleurs et l’impératif de rassemblement qui est le nôtre, c’est le propre des grands personnages politiques que l’adversité, au lieu de décourager, y fait grandir la résilience. Cet esprit de résilience que la vie m’a personnellement imposé, nous en avions parlé et quand nos sourires se croisaient, après la défaite, nous savions… Amitié discrète et naturelle depuis ces 17 années de participation à nos batailles, à ses côtés. 

Et si la vie ne lui aura pas laissé le temps de « faire davantage grandir » tous ceux en qui elle croyait et je pense en faire modestement partie, gardant à l’esprit nos discussions riches et pleines d’espoir, de là où elle se trouve, c’est désormais sa lumière qui nous guidera pour poursuivre l’inachevé, dignes de l’immense héritage qu’elle nous a légué. Pour tout cela je dis MERCI, Marielle !"

Samia

traitorange

"Les élections européennes de 2009 furent l'occasion de rencontrer Marielle pour la première fois. Une étape de la campagne était organisée à Bouin, près du port de départ pour l'Île d'Yeu qu'elle connaissait si bien. Sa passion pour le combat européen était intense, sans compromission. En abordant les sujets épineux de la pêche et de l'agriculture sous une pluie battante, elle prenait soin de n'oublier ni les enjeux environnementaux, ni les enjeux sociaux pour les territoires qui en dépendent. Défendre l'Europe avec une telle force était alors une gageure, ses opposants surfant déjà sur une ambiguïté qui a tant terni le projet européen. Il ne fallut pas longtemps ensuite pour que j'adhère au Mouvement Démocrate.
Quelle fierté 8 ans plus tard de participer à sa campagne dans la 11e circonscription de Paris, de la voir défendre ce même projet. Le soir du second tour Avenue du Général Leclerc, nous mesurions tous combien le combat qu'elle avait mené depuis 10 ans avait été difficile, ce qui n'en rendait la victoire que plus belle."

Pierre-Jean

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